FAITS DIVERS

Kalaban-Coura : Un homme marié meurt en plein ébat sexuel dans le bar Togouna !

Incroyable, mais vrai ! Un homme marié, habitant de Bamako-Coura, est mort en plein ébat sexuel dans le bar Togouna sis à Kalaban-Coura en commune V du district de Bamako. Il était avec une fille de joie, une béninoise au moment des faits.

Oui, le nommé T.M n’est plus. Il est mort, et dans une condition peu orthodoxe.  Mais que s’est-il passé au juste ? Dans la nuit du dimanche à lundi 28 juin, le défunt a quitté chez lui à Bamako-Coura, croyant qu’il allait, peut-être, retourner dormir tranquillement à côté de sa femme. Mais il ne reviendra plus jamais à la maison. Il est décédé la même nuit dans un lieu peu honorable et dans conditions honteuses.

Ce qui s’est passé

Ainsi, courant la nuit du dimanche à lundi, cet homme dont nous tairons le nom s’est rendu dans le Bar Togouna sis à quelques mètres de la mairie de Kalaban-Coura, en commune V du district de Bamako. Ledit bar n’est pas non plus loin du marché de Kalaban-Coura et du commissariat de police du 11ème Arrondissement. D’une source fiable proche du dossier, nous avons pu connaitre comment la scène s’est déroulée. En l’occurrence, le sieur M.T est, courant la date ci-dessus mentionnée, venu au Bar Togouna pour négocier avec une fille de joie. L’objectif étant de satisfaire son besoin libidinal. Ainsi, il tombera alors sur une béninoise professionnelle de sexe. Cette dernière, rapporte notre source, fréquente ce Bar Togouna. Une fois convenus du prix, l’homme et la dame se sont rendus dans une chambre de passe réservée au défunt. Selon notre source, la Béninoise n’était pas la copine du défunt. C’est une dame qui était d’ailleurs là pour servir tout homme moyennant le paiement d’un droit.

Une fois à l’intérieur de la chambre, le défunt s’est mis alors à satisfaire son besoin libidinal. « Et pendant qu’il était en ébat sexuel, son cœur s’arrête net, et il a rendu l’âme aux environs de 3h du matin », nous confie une autre source. Cette version des faits, elle n’a pas été confirmée par la personne proche du dossier que nous avons rencontrée. Cette dernière estime que les policiers du 11ème Arrondissement ont été appelés aux environs de 3H du matin par les éléments du Bar Togouna. En venant au Bar, « les éléments de police ont emmené un personnel de santé pour le constat du corps. Ils sont arrivés aux environs de 4H du matin au Bar. Après le constat, le médecin a confirmé que le sieur M.T. avait cassé la pipe », ajoute notre source. Cette dernière souligne qu’aucune trace n’était sur le corps du défunt. D’après elle, aucun signe d’empoisonnement n’a été aussi découvert par le constat du médecin. « Sur le défunt, détaille notre source, un téléphone portable et une carte d’identité ont été découverts. C’est après l’évacuation du corps à la morgue de l’hôpital Gabriel Touré que les policiers ont tenté de joindre les parents du défunt à travers les numéros enregistrés dans le répertoire de son téléphone ». Le drame, c’est que les parents ne savaient pas, selon la même source, que leur fils est mort dans un bar. Et de confirmer que le corps a été remis à la famille. Quant à la Béninoise, elle a été entendue par la police, mais elle pourrait éventuellement recouvrer sa liberté pour  la simple raison qu’aucun indice suspicieux n’engage, selon les données, sa culpabilité dans l’affaire. Le défunt est un homme marié. Des précisions laissent dire que sa femme serait même enceinte.

La question qui se pose est de savoir s’il s’agit  d’un décès occasionné par une crise cardiaque due à une overdose ?

Mamadou Diarra

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